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 Ludwig McBean

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Date d'inscription : 22/09/2011

Ludwig McBean Empty
MessageSujet: Ludwig McBean   Ludwig McBean Icon_minitimeDim 2 Sep - 13:10



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Welcome to Storybrooke !

Nom McBean
Prénom(s) Ludwig, Luis
Âge 13 ans
Conte Jack et le Haricot Magique
Personnage Jack
Groupe Je suis paumé et je le vis très bien
Camp Le sien
Avatar Asa Butterfield
Image © Tumblr

Operation Cobra, here I am !

೨ What is in my mind.
Cleptomane : C'est une manie que Ludwig a beaucoup de mal à contrôler. Bien qu'il soit rarement dans un réel besoin, il a du mal à combattre la convoitise qu'il ressent à l'égard des objets qui passent sous ses yeux. Cette manie de voler viens aussi du fait qu'il soit très curieux et facilement intéressé.
Intelligent : Il s'est toujours montré plus agile d'esprit que les autres enfants de son âge. Observateur et calculateur, il voit et comprend les choses très rapidement. Étant très pragmatique, le garçon futé et rusé n'est par contre pas très attiré par les grandes réflexion philosophique.
Malhonnête : Voleur, menteur, il a un sens très particulier de ce qui est juste ou bien. Dans une mentalité de Robin des Bois, il justifie souvent ses actes en disant que ceux qu'il vole ou manipule ne sont pas dans le besoin comme il l'est. Il profite de la richesse des puissants comme de la gentillesse des naïfs. Il a parfois conscience que ce qu'il fait mal, mais son orgueil vient rapidement ôter la culpabilité de son esprit.
Courageux : Plein d'assurance, Ludwig sait qu'il est plus habile et intelligent que beaucoup et en profite grandement. Lorsqu'il a un but en tête, il est très difficile de l'en dissuader et la peur est rarement un obstacle pour lui. Il a tendance à être parfois trop confiant, ce qui le rend téméraire.
Débrouillard : Habitué à être seul, livré à lui même, il a apprit à être indépendant très jeune et même aider les autres plutôt que d'en demander. Habile et persévérant, il n'hésite pas à mettre ses propres intérêts avant ceux des autres au risque de paraitre déloyal ou lâche.
Méfiant : Dénué de la confiance aveugle dont font preuve les enfants, il semble attendre très peu de la vie. Il a une vision très sombre et pessimiste de l'existence où son comportement peu honorable se justifie. Il voit la vie comme un combat cruel où les autres sont des adversaires dont il faut se méfier.
Généreux : Même s'il fait difficilement confiance aux autres, il déteste être seul. Sans vraiment se l'avouer, il cherche la compagnie et l'affection des autres en se montrant parfois généreux et serviable. Il regrette souvent ses gestes, mais jamais l'amitié des autres.
Protecteur : Ayant un caractère plutôt fort pour son âge, Ludwig est un petit leader qui n'a pas peur de se dresser contre plus vieux ou plus fort que lui. Comme il considère le monde comme un lieu cruel régit par la loi du plus fort, il ressent le besoin d'aider les plus faibles que lui et de les protéger.
Discret : Même s'il n'est pas timide ou craintif, il aime voir sans être vu. Habitué à bouger rapidement, silencieusement et à se cacher et souvent considéré comme un enfant comme les autres, il est plutôt simple pour lui de passer inaperçu.
Calme : Il sait qu'agir sous le coup des émotions est une erreur et essaye le plus souvent de ne pas y céder. Ne partageant pas souvent ses pensées et sentiments avec les autres, il peut souvent insensible, mais c'est surtout pour se préserver lui-même qu'il se force à ne rien laisser paraitre.
Enfantin : Bien que son caractère et sa vision de la vie se rapproche plus de ceux des adultes plutôt que d'un enfant, Ludwig reste un garçon très enfantin et joueur, avec ses peurs et ses rêves. Chercher à agir et penser comme un adulte est sa façon d'oublier qu'il est orphelin, fragile et très seul.
೨ The fairest of them all.
Ludwig est un petit garçon de 13 ans plutôt maigrichon. Bien qu'il soit assez bien nourri et qu'il ne manque pas l'occasion de voler de la nourriture lorsqu'il a un petit creux, son corps ne semble pas vouloir le montrer. Peu soucieux de son apparence et sans grand choix pour ses habits, Ludwig se voit obligé de vêtir des habits souvent trop grands, accentuant sa maigreur corporelle. Ses côtes saillantes, ses chevilles et poignets maigrelets et ses membres fins lui donnent l’apparence d'un pauvre mal-nourri. Ses genoux souvent crasseux sont noueux et ses épaules tombantes. Sa stature droite et fière lui donne un air insolent et ses mains habiles armées de doigts fin et délicats ajoutent un brin d'élégance au tableau. Mais son visage est d'une toute autre beauté.
La maigreur de son corps n'affecte pas du tout son visage aux formes arrondies et au teint de porcelaine. Lorsqu'un sourire étire les petites lèvres roses pâles de Ludwig, on découvre même de belles pommettes rondes sur son visage. Son nez, petit et pointu semble avoir été façonné dans le simple but de laisser plus de place au premier intérêt du visage du garçon. Bleus comme un ciel d'été mais froids comme l'hiver, les prunelles de Ludwig sont de grandes perles brillantes hypnotiques. Elles trahissent dans ce physique miséreux, un esprit vif et alerte, rêveur comme réaliste. Contrastés par une chevelure soyeuse noire de jet, lisse et animée d'ondulations élégantes, ces grands yeux captent toute l'attention pour faire oublier qu'en dessous de ce visage enfantin et aux allures innocentes, de petites mains agiles s'agitent.

Once upon a time...

೨ This is not a fairytale... Or is it ?

Once upon a Farm

Il était une fois, une ferme. Y vivait une femme et son fils, Jack. Pauvres et sans ressources, l'enfant était né sans n'avoir jamais connu son père, la couleur de l'or ou même la sensation d'un ventre plein. Bien que peu y entrait, beaucoup sortait de la bouche du petit. Des questions et encore des questions, de quoi irriter la fermière qui espérait en nourrissant le bambin, seulement récupérer deux mains de plus pour traire la vache, meuler le foin, cueillir dans la forêt... Au lieu de cela, une bouche de plus à nourrir, et quelle bruyante bouche ! Au fil des années, elle lui apprit à se taire, agir avec ses mains, mais jamais l'esprit du petit Jack ne semblait trouver de repos derrière ses grands yeux bleus. « Nous ne sommes pas des ménestrels, ou des conteurs, mais des fermiers ! Alors la ferme ! » répétait la mère avec colère, alors un jour il finit par la fermer.
Il grandit doucement, se servant de ses yeux et ses oreilles plutôt que de sa langue pour trouver lui même des réponses à ses questions. A la ferme, éloigné de tout, il n'avait que la vache et les poules pour se tenir compagnie. Sa mère, elle, préférait passer le moins de temps en sa compagnie pour ne pas avoir à subir les questions muettes de son regard bleu. Seul, jamais il ne fut libre pour autant, devant travailler à la ferme et aider sa mère. Jamais il ne songea à partir, jamais il ne pensa à une autre vie. Les rêves, c'était pour les ménestrels et les conteurs, pas les fermiers. Lui rêvait parfois oui, mais de pommes, de cailloux, de pain et de fleurs.
Vint un hiver, plus rude que les autres. L'hiver des dix ans de Jack. La neige avait recouvert le toit de leur petite chaumière et il dû chaque jour s'y geler le corps pour éviter que le poids de la couverture blanche n'écrase leur maison. Un jour, alors qu'il faisait de même pour l'enclos des bêtes, il chuta à travers le toit de paille et écrasa malheureusement la dernière poule de l'enclos. Emportées par le froid, la faim, la maladie ou la vieillesse, les autres étaient tombées une à une, laissant leur nid vide. Cette dernière, la fermière espérait en tirer des poussins pour repeupler la ferme, mais voyant l'animal entre les main de Jack, le cou rompu, elle explosa de rage et se mit à battre le malheureux enfant de son ballet de blanches. Quelle colère ! D'autant plus que leur vieille vache ne donnait plus de lait depuis voilà une semaine ! Furax, la fermière envoya l'enfant vendre la bête au marché le lendemain matin. « Ne reviens pas avec moins de dix pièces d'argent ou tu tâteras encore du balai ! » cria-t-elle en lui tenant la vache au bout d'une corde. En ces temps rude, le prix était raisonnable pour une bête aussi massive bien que très vieille.
L'enfant arriva donc au marché avec sa vache au bout d'une corde. Encore blessé et griffé de la veille, il ne put s'empêcher de s'émerveiller d'un grand sourire. Il avait toujours apprécié se rendre au marché car il pouvait y voir de nombreuses personnes, entendre d'étranges histoires, découvrir de fabuleux objets. Malgré le froid et la neige, les voyageurs et les vendeurs étaient nombreux ce jour là. « Héla pourquoi cet air débile ? A t'en voir, je croirait voir deux vaches attachées l'un à l'autre ! » devant lui se gaussait un grand homme juché sur son destrier noir et soufflant. Son armure, lavée par la neige, brillait de milles feux et sa cape flottante ne décocha à Jack qu'un nouveau sourire émerveillé. Croyant que le petit se moquait de lui, le cavalier lui botta le visage violemment. Éjecté, Jack tomba et lâcha la corde de sa bête et affolée par l'agitation, celle-ci prit la fuite.
Horrifié, l'enfant lui couru après, mais bousculé de toute part, il ne parvint à la retrouver. Dépité, il se laissa tomber contre une roulotte et pleura doucement. Qu'allait dire a mère ? Et qu'allaient-ils faire maintenant que leur dernière bête s'était enfuie ? L'hiver, ils ne pouvaient jouir des cueillettes de la forêt et ils ne savaient pas chasser. Terrorisé et grelottant, l'enfant resta là jusqu'à la tombé de la nuit sans oser rentrer chez lui.


Once upon a Deal

Alors que les gens se faisaient moins nombreux, une silhouette se plaça devant lui. « Pourquoi pleure-tu petit ? Il faut sourire ! » chanta la voix joyeuse du vieil homme. « Sourire ? répondit amèrement l'enfant, Je venais pour vendre la vieille vache de notre ferme pour dix pièces d'argent et elle s'est enfuie. » Il leva un regard larmoyant vers l'homme qui, à travers ses larmes, lui paru étrange. Sa peau semblait briller comme des grains de neige dorés, ses dents effilées ressemblaient à celles d'un chat et dans ses yeux globuleux, scintillait une lueur étrange.
« Dix pièces d'argent c'est du vol pour une vieille vache qui ne donne plus de lait. » commenta l'inconnu avec son rictus joyeux et ses petits pas de danse. « Quelle importance maintenant ! Elle s'est enfuie ! » s'énerva le petit Jack, blessé de l'attitude railleuse de l'homme. « Peut-être... Ou peut-être pas. » répondit-il simplement d'un air mystérieux. « Vous pouvez la trouver ? Vous allez la trouver ? Vous l'avez trouvée ? Où l'avez-vous trouvée ? Comment l'avez-vous trouvée ? » s'excita alors l'enfant avec un sourire et ses yeux plein d'espoir. Comme réponse, l'inconnu resta silencieux, gardant son petit sourire mutin figé et insondable. Tout en semblant réfléchir, il attendit que le petit se calme un peu avant de se tourner vers lui, le sourire s'élargissant. « Tu veux la retrouver ? »
Oui ! allait s'exclamer le petit, mais sa joie retomba rapidement alors que son regard bleu se porta sur les alentours. Sombre et vide de monde, le marché n'était plus. La mine boudeuse et triste, Jack se renfrogna sous le regard curieux de l'homme. « Même si je la récupère, il n'y a plus personne pour m'en acheter dix pièces d'argents. » chouina-t-il doucement, le regard abattu. « Tu es... Intelligent, petit garçon. » répondit l'homme d'un ton amusé avant d'éclater d'un rire très étrange. Intrigué et de nouveau énervé de cette joie, l'enfant lui jeta un regard mécontent. Mais inchangeable, ce fut un grand sourire qui lui répondit. « Tu sais quoi petit ? Je vais t'acheter cette vache, moi. »
Surprit mais enthousiaste, Jack releva la tête et observa avec impatience l'étrange individu saisir un objet dans sa poche. S'attendant à voir dix pièces d'argent, il fut déconfit de découvrir un simple haricot. « Vous vous moquez de moi ! s'écria-t-il indigné, J'en veux au moins dix pièces d'argent et vous croyez l'avoir pour un haricot ? » « Ceci vaut bien plus que ta vieille vache sans lait et qui plus est perdue ! » s'énerva doucement l'individu, tendant pourtant toujours le haricot. Jack déglutit doucement en se rendant compte qu'il avait raison. Il prit le haricot mais dévisagea son client d'un air méfiant. « Pourquoi me le donner alors ? » questionna-t-il de son regard brillant. L'homme s'éloigna d'une démarche dansante et en même temps, il chantonna « Aujourd'hui je prend ta vache, demain tu planteras le haricot, et le jour d'après dix pièces d'argent tu auras ou bien plus encore. Crois-moi bien petit garçon, car mon nom est Rumplestilskin ! »
Jack rentra, serrant dans sa main le haricot. Magique il semblait-être selon les dires de Rumplestilskin, mais l'enfant ne connaissant rien de ce magicien ne put s'empêcher de trembler devant la porte de la ferme. Il entra, silencieusement, mais ne put échapper au regard foudroyant de sa mère. Il n’eut même pas à lui expliquer la situation pour recevoir déjà un coup de balai sur la tête. La rage de la fermière était telle lorsqu'il osa lui montrer le haricot que celle-ci le frappa si fort qu'il laissa tomber le haricot sur le sol. Hurlant comme une furie, la mère piétina le haricot et continua de frapper Jack jusqu'à ce que celui-ci s'évanouisse sur le sol même, des larmes dégoulinant de son visage d'enfant. Ses larmes arrosèrent le haricot enfoncé dans le sol et celui-ci poussa et poussa si haut et si gros que la ferme éclata, empalée dans la nuit.


Once upon a Magic Bean

Le lendemain, Jack se réveilla au milieu des nuages. Emporté par l'épais tronc du haricot magique, il se réveilla dans un monde bien au dessus où le sol était blanc et mousseux. Le haricot l'avait mené juste devant un grand château qui semblait inhabité. Émerveillé, Jack s'y aventura et découvrit que les portes étaient gigantesques. Il n'eut même pas à les ouvrir et se faufila entre les pans de bois pour pénétrer à l'intérieur. Les meubles, la nourritures, les objets et les richesses, tout était gigantesque et à profusion dans les pièces où il se promena. Attiré par un fumet appétissant, Jack se rendit dans la cuisine où il fit face à une femme gigantesque.
« Bonjour Madame, pourriez-vous me donner un peu à manger, s’il vous plaît ? J’ai bien faim. » demanda-t-il sans crainte, mais avec politesse. « Mon pauvre enfant, dit la géante, que viens-tu faire ici ? Mon mari est un ogre. Au lieu de te donner à manger, c’est lui qui va te manger ! » Mais insistant, Jack eu quand même à manger. Il n'eut cependant le temps de finir que de grands bruits de pas annonçait la venue du mari. La géante lui demanda de se cacher et rapidement, il se cacha derrière le buffet. L'ogre sentit l'odeur de la chair humaine, mais sa femme le convint qu'il ne sentait là, que l'odeur de son précédent repas.
Caché, l'enfant dû attendre que l'ogre termine son repas et fut horrifié de voir que dans son énorme plat, se trouvait le corps de sa mère, rôti et embroché avec d'autre. Silencieux, il attendit que le monstre aille se coucher et l'observa conter minutieusement les pièces de plusieurs sacs d'or. Les paroles de Rumplestilskin lui vinrent alors en mémoire, demain tu planteras le haricot, et le jour d'après dix pièces d'argent tu auras ou bien plus encore, et il su ce qu'il devait faire. Lorsque les ronflements des géants firent trembler les murs en pierre du château, il sauta hors de sa cachette, saisit un sac d'or et redescendit du haricot magique.
Euphorique, l'enfant éclata de rire devant les décombres de la ferme. Il n'avait plus besoin de s'occuper des bêtes ou du foin, plus besoin d'écouter sa mère et se subir ses coups et dans ses mains, se trouvait une fortune qu'il aurait toute sa vie à dépenser. Précautionneux, il enterra la bourse dans un endroit secret et coupa les branches du haricot de telle sorte qu'il fut le seul à savoir comment y monter. Visible de loin, l'énorme tour verte avait vite fait d'attirer du monde, mais Jack n'y retourna pas, voulant refaire sa vie comme il l'entendait. Enfin, il n'y retourna pas cette année là.


Once upon a Thief

N'ayant jamais eu l'occasion de rêvé à une nouvelle vie, il paya un charpentier pour lui construire une maison, mais celle-ci ressemblait grandement à l'ancienne ferme. Il accompli ses rêves en allant au marché acheter tous les objets qu'il avait un jour voulu, si bien que sa maison fut rapidement remplie à craquer de bibelots auxquels Jack ne s'intéressait pas vraiment. Mais à force d'acheter tout ce qu'il convoitait, la bourse se fit plus mince et avant même de tout dépenser, l'enfant décida de retourner chez le géant. Il trouva à nouveau la géante à la cuisine et lui redemanda à manger. Celle-ci le questionna concernant la bourse manquante, mais il refusa de parler tant qu'elle ne lui servit pas à manger. Elle s’exécuta et le joyeux gredin mangea lentement car la faim ne le tenaillait pas cette fois. Pour ne pas répondre aux questions de la géantes, il attendit le moment du retour du géant pour se cacher à nouveau, cette fois-ci derrière la marmite. Comme la première fois, le géant sentit Jack mais sa femme l'en convint du contraire. Cette fois, après qu'il observait le géant manger, il le vit sortir une poule d'une cage et lorsqu'il ordonna « Ponds. », l'oiseau pondit un œuf d'or. Il sut qu'en volant cette poule, il ne pourrait être à cours d'or et s'éclipsa en voleur à nouveau.
En effet, grâce à la poule qui sur commande lui donnait un œuf, il ne manqua jamais d'or et pu s'acheter une nouvelle maison identique à la première où il continua d'entasser des objets. Il en oublia même les pièces qui lui restait de la bourse, cachée quelque part. Les gens aussi, commençaient à se demander sérieusement d'où venait ce petit garçon et ses œufs d'or. Beaucoup crurent qu'il était fils de seigneur ou même fils de roi, et pendant un moment Jack s'en amusa. Mais l'attention qu'il attirait n'était pas vraiment à son goût et bientôt, il cessa d'utiliser ses œufs de poules à la vue de tous. Il avait pu voler des géants, alors les marchands n'étaient pas bien difficile à tromper. Il se mit alors à voler les objets qu'il voulait, déposant à la place son œuf d'or. Mais plus le temps passait et plus Jack se remit à penser au château des géants et aux objets incroyables qu'il enfermait sûrement. En comparaison, ce qu'il pouvait voler au marché n'avait pas du tout de valeur et pensant ainsi, il arrêta de déposer un œuf d'or pour ses objets volés.
A nouveau, il monta le long du haricot magique jusqu'au château des géants. Cette fois-ci, conscient que la géante ne se laisserait pas tromper à nouveau, il attendit que cette dernière aille chercher de l'eau pour aller se cacher derrière un coffre de la cuisine. Il voulu attendre que le géant lui révèle une nouvelle richesse, mais il oublia que celui-ci pouvait le sentir. Bien sûr, cette fois-ci la géante abonda en son sens et lui indiqua les deux précédentes cachettes de Jack pour qu'il l’attrape. Ne trouvant personne, il pensèrent par eux-même que ce devait être autre chose et prirent leur repas. A la fin, l'ogre demanda à sa femme de lui chanter une chanson avec sa harpe d'or et celle-ci chanta jusqu'à ce qu'il s'endorme. Au marché, il n'avait besoin d'attendre que les marchands s'assoupissent pour se saisir de ce qu'il voulait se rappela le voleur, et plein d'assurance, il sauta hors de sa cachette et arracha la harpe des mains de la géantes. Il s'enfuit en courant mais les cris de la géante réveillèrent l'ogre qui se mis à la poursuite de l'enfant. Talonné par le géant fou de rage, Jack s'enfuit jusqu'au haricot magique et commença à descendre. Alourdi par la harpe, il tenta d'éviter la main du géant qui voulait l'attraper et glissa. Terrifié, il se sentit tomber dans le vide. Il ferma les yeux, s'attendant à tout moment à s'écraser sur le sol, mais celui-ci était déjà recouvert d'un étrange brouillard sombre et épais.


Once upon a Curse

Ludwig McBean était orphelin d'aussi loin qu'il se souvienne. C'était le cas de tous les gamins de l'orphelinat, mais pour avoir un nom tel que le sien, il était sûr d'avoir un jour connu des parents. Ce nom, bien qu'il montrait que ses parents ne l'avait pas considéré comme un morceau de viande avarié à jeter sur le bord de la route, il ne l'appréciait pas beaucoup. Pourquoi se trimbaler la preuve d'un passé compliqué dont il ne se souvenait pas du tout. Au sein des orphelins, c'est part Luis, qu'on le connaissait. Il avait bien posé des questions sur la raison de sa présence à l'orphelinat, mais au bout du énième « La ferme ! » il la ferma.
Vers sept ou huit an ça allait, mais à plus de dix ans, les chances de se faire adopter était infime. En plus, qui viendrait chercher des enfants à Storybrooke ? D'aussi loin qu'il se souvienne même chez les plus jeune il n'y avait pas eu d'adoptés, à moins qu'il ne se souvienne plus de ceux qui sont partis. De toute manière, il savait qu'il n'avait pas vraiment la bonne tête pour se faire aimer. Il était mignon certes, mais même les adultes de l'internat semblait se méfier de sa bouille d'ange. Quelque part, ils avaient raison. Joueur et voleur, Ludwig n'avait jamais été le plus adorable des enfants. N'entendant que sa propre loi, il s'était même fait petit chef au sein des orphelins. Envers eux, il était attentionné, protecteur, mais dès que son regard se portait vers le haut, vers les visages des adultes, il demeurait insolent, méfiant et manipulateur.
A Storybrooke, pas mal de gens le connaissent sans vraiment le connaitre. A l'école, il se montre brillant. Dans les magasins il est curieux et chapardeur. Dans la rue il séduit et trompe et à l'orphelinat il commande et protège. Le petit voleur, le sale gosse, le pauvre orphelin, l'adorable petit, chacun se fait sa propre idée de qui est vraiment Ludwig McBean et celui-ci aime garder le mystère. Mais il ne se doute pas un instant, que lui-même ne sait pas qui il est vraiment.

Through the looking glass.

Pseudo Lyn
Âge 19 ans
Comment avez-vous connu Once Upon a Curse ? J'ai suivi la lueur d'une flamme *0*
Votre avis sur le Forum Il m'a l'air bien, j'ai hâte de le connaitre mieux !
Conseil(s) ; Suggestion(s) Il me semble que le Design est en cours de développement.
Votre Présence sur une semaine 6/7 ou 3/7 dépendant des semaines.
Le Code du Règlement Blanche Neige et les Septs Sandwiches
Le point final ici

© Macha

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